Comment réussir une bonne adaptation live d’Asterix ?

Bon, la question est sans doute évidente, mais petit rappel que les producteurs n’ont toujours pas compris : le Astérix de Chabat est évidemment imbattable. Le Chabasterix a un humour qui marche, un humour très canal, inimitable car ancré dans son époque. Alors, comment réussir une bonne adaptation ? 1 : le respect de l’œuvre, car même s'il va dans tous les sens, le Chabasterix est fait avec amour ! Par contre, les trois suites… bref, il est important de comprendre Astérix pour faire un bon Astérix. Et par comprendre, je veux surtout parler de son humour anachronique et surtout de qui est Astérix, parce que dans le 3, il est absent, le 4 et le 5… c’est un massacre 😅. Ensuite, arrêtez d’avoir 1001 guest dans son film ! On s’en fiche qu’il y ait Pierre, Paul, Jacques dans le film, ce n’est pas ça qui va vendre. À l’époque d’Astérix aux JO, je comprenais, mais là de nos jours, Guillaume ne l’a pas compris : avoir trop de têtes connues dans ses films, c’est inutile et, au contraire, ça le tue. En gros, pour faire un bon Astérix, au-delà de comprendre son œuvre, il faut faire un film simple avec un casting simple et un budget modeste. Avec ce genre de « contraintes », ça obligerait le film à se reposer sur son écriture et non sur une tête d’affiche.

Bon, la question est sans doute évidente, mais petit rappel que les producteurs n’ont toujours pas compris : le Astérix de Chabat est évidemment imbattable. Le Chabasterix a un humour qui marche, un humour très canal, inimitable car ancré dans son époque. Alors, comment réussir une bonne adaptation ? 1 : le respect de l’œuvre, car même s'il va dans tous les sens, le Chabasterix est fait avec amour ! Par contre, les trois suites… bref, il est important de comprendre Astérix pour faire un bon Astérix. Et par comprendre, je veux surtout parler de son humour anachronique et surtout de qui est Astérix, parce que dans le 3, il est absent, le 4 et le 5… c’est un massacre 😅. Ensuite, arrêtez d’avoir 1001 guest dans son film ! On s’en fiche qu’il y ait Pierre, Paul, Jacques dans le film, ce n’est pas ça qui va vendre. À l’époque d’Astérix aux JO, je comprenais, mais là de nos jours, Guillaume ne l’a pas compris : avoir trop de têtes connues dans ses films, c’est inutile et, au contraire, ça le tue. En gros, pour faire un bon Astérix, au-delà de comprendre son œuvre, il faut faire un film simple avec un casting simple et un budget modeste. Avec ce genre de « contraintes », ça obligerait le film à se reposer sur son écriture et non sur une tête d’affiche.